• Décodage Biologique, par Emmanuel CROIZET

    Spécialisé depuis plus de 10 ans dans le décodage des maladies, des émotions et des situations, je choisis de vous partager ici des textes que j'ai décodés pour certaines maladies.

    Ces textes sont mis à votre disposition mais ont été au préalable déposés et restent ma propriété ©.

    Maladie en "Isme" ou "iste" ©

    Les malaises ou maladies en -iste ou -isme, sont liés à une situation d'enfermement dans laquelle je suis à la fois celui qui est enfermé et celui qui enferme. Cela est lié à un profond sentiment de solitude.
    J'ai un profond mal-être, je me détruis et me consume à petit feu. Je fais des actions extrêmes pour montrer ma douleur et au fond de moi j'espère que l'on va voir mon appel à l'aide.
    Ma douleur me pousse à m'enfermer ou à obliger les gens à rentrer et à s'enfermer dans ma croyance (complotiste, extrémiste). J'agis avec beaucoup de colère et je m'enferme dans des croyances à travers lesquelles je peux être militant et agir contre l'extérieur, mais ceci est le miroir de mes souffrances intérieures que je n'arrive pas à exprimer.
    Colère due au sentiment de ne pas être compris ou écouté, car je ne me comprends pas et ne m'écoute pas.
    Je me fais mal car je n'arrive pas à vivre dans mon corps et dans ce monde, ex : autisme, tabagisme, masochiste, traumatisme.
    Je me fais violence dans mon enfermement comme un appel au secours.

    J'aimerais qu'on me tende la main car je n'arrive pas à sortir moi-même de cette boucle dans laquelle je m'enferme. J'ai besoin d'aide.
    Je me sens impuissant à sortir par moi-même du trou dans lequel je me suis terré.
    J'enfouis mes douleurs, rêves et envies. Je m'empêche de vivre mon haut potentiel pour ne pas déranger ou gêner. Je suis introverti et discret. Enfermé et caché au fond de moi, personne n'entend ni mes cris de douleur, ni mes appels à l'aide (autisme).

    Ce sont des maladies liées à un acharnement ou à un conflit de persécution intérieure qui m'oblige à rester fermé dans une croyance ou une direction, un point vue.
    Je peux agir de manière dogmatique.
    Il y a une notion de violence, de persécution, d'acharnement, d'incompréhension, voire un état paranoïaque qui me fait agir dans une seule direction.
    Je suis centré sur mes problèmes et douleurs (égocentrisme).
    Je n'arrive pas à respirer, j'étouffe, je m'étouffe.
    Je reste et campe sur mes positions, je ne veux pas démordre. Un besoin de rébellion et peut- être une impuissance à exploser.
    Le sentiment d'être incompris et rejeté de l'extérieur ce qui provoque une grande colère et un besoin de dualité pour valider de rester enfermé.
    D'une certaine façon, je me mets en boîte. Il peut s'échapper de moi une certaine violence, voire un acharnement à vouloir me maintenir enfermé.
    Je suis lié, attaché ou accroché à quelque chose. Je ne veux pas lâcher.
    Je peux avoir peur de briller, de m'épanouir, de m'exprimer et je m'empêche ainsi d'aller de l'avant.
    Je crée un rituel ou une habitude récurrente à agir à l'encontre de moi.
    C'est une action de soi contre soi.
    Je suis à la fois mon bourreau et ma victime.
    Puisque tout est interrelié et que tout est un, en agissant contre l'extérieur ou en étant en fermeture avec l'extérieur, je suis tout ceci. J'agis et œuvre donc contre moi. Je suis dans une forme de persécution envers moi même.
    Je me mets en boîte, je maintiens le couvercle.
    Je me bride dans une direction et ne m'autorise pas à m'en écarter. Cela peut révéler un aspect têtu et borné de ma personnalité lié à une grande insécurité.
    Je m'acharne à maintenir un cap, même s'il est douloureux pour moi.
    Je ne mérite pas de vivre une autre situation. Je cherche à me punir. J'ai de l'amertume envers moi-même.
    Je vis un sentiment d'injustice qui m'enferme dans la rancœur.
    J'accepte de me remettre en question, de prendre du recul, d'observer et de regarder les douleurs qui m'appartiennent sans les projeter à l'extérieur.

    Hyperglycémie ©

    Je contrôle et oblige l'amour.

    Je suis en hyper-contrôle de l’amour, celui qui circule en moi ou dans ma vie amoureuse. Je m'accroche à une forme d'idéal d’amour à laquelle je m’englue, m’encolle.

    A un moment de ma vie, de manière progressive ou radicale, j’ai dû prendre conscience que ma sexualité ou la vie amoureuse que je concevais était tout autre.

    J’ai essayé de retenir à l'intérieur de moi cette forme d’amour que je n’osais assumer. Je retiens donc le sucre dans mon sang, de peur qu’il ne s’infuse en moi et m’imprègne de cette nouvelle vision que j’avais peur d’admettre et d'assumer. Je choisis de l'évacuer rapidement (glycosurie, passage du glucose directement dans les urines) car je sais que j'aimerais qu'il m'envahisse pour le vivre, je ne peux me l'autoriser.

    Par mon éducation et mon statut social, il est possible que je ne puisse me permettre de laisser cette forme d’amour me posséder et être exprimée au grand jour. Ce n’est pas correct !

    Je dois la canaliser et la garder en mon sang comme un secret. Je ne peux la vivre pleinement dans mon corps, au risque qu'on la voit.

    Je la garde cachée, même si mon sang s’épaissit et que la "glue cose" ma maladie d’amour impossible.

    Le désir inconscient et profond de l'exprimer pousse au fond de moi. Je vis alors une profonde dualité qui s'exprime par l'hyperglycémie. Ma dualité avec l'amour, symbolisée par le sucre (glucose), me colle dans la chair et finit par engluer mon sang et mes situations amoureuses qui échouent ou ne se réalisent pas.

    Je retiens et canalise ! Cela sature mon sang et bloque l’échange avec un éventuel ou mon partenaire (comme s’effectue naturellement l'échange sanguin du sucre dans mon corps). Je mets l’amour en cage pour qu'il ne s’échappe plus de moi. Je colle donc le sucre comme de la glue (glucose).

    Ce manque de circulation et d'échange intérieur crée une pression et exigence qui inconforte l’être convoité ou aimé. Je fixe l’amour, le retiens et fais donc fuir l’autre.

    Ceci crée une sensation d’emprise et de contrôle de l’être aimé qui se ferme dans des peurs et fuit.

    Je n'ai pas d'échange sanguin fluide donc pas d’amour léger qui se profile à l’horizon.

    Il y a du "trop" et des "attentes" qui fixent le sucre, donc l’amour.

    Est-ce que j’exerce de l’emprise sur mon partenaire ou se sent-il sous emprise ? (car j’ai de l’emprise sur moi). J’accepte et reconnais vouloir posséder mon partenaire.

    Le sucre est sous l’emprise de mon sang (emprisonné). Comme un filtre d’amour, je veux obtenir l'amour de l’autre sans me dévoiler. Mais l'amour est à double sens.

    Je dois être sans filtre (sans filtrer mon sang)

    J'essaie de domestiquer l'amour en moi, à l’image de ce que je veux imposer à mes partenaires. L’amour ne se domestique et ne s’apprivoise pas. J’ai peur de me soumettre (être un sous-maitre) ou d’être soumis, donc je peux inconsciemment soumettre. La dévotion de mon compagnon (élèves) me suffira comme retour d’amour. Je reste le maitre de l’amour. J’enseigne (« j’en saigne », je me saigne car je dois être celui qui donne) l’amour plutôt que l’accueillir en simplicité de mon élève.

    Le contrôle dû à mon mal-être qui me ronge, réveille un état possessif, au point que mon partenaire se sente possédé. J’exerce inconsciemment une emprise incontrôlable sur l'autre alors qu'au fond de moi je souhaite tellement bien faire et oser me montrer comme je suis.

    Je peux vivre une torture intérieure qui se manifeste à l'extérieur.

    Je peux vouloir m’approprier mon partenaire (symbole de l’amour) et ne pas le laisser partir (comme je ne laisse pas partir ou couler le sucre symbole d’amour). Je peux vouloir amener l’autre dans mes filets.

    Je manipule mon amour intérieur, je contrôle du sucre en le fixant.

    Ce contrôle d’amour (sucre) est un poids lourd à porter et je le fais à contrecœur. J'ai besoin de l'évacuer rapidement et de me soulager, d'où une envie de me laver de l'intérieur en buvant souvent et en urinant très souvent (Polyuropolydipsique). Je me déshydrate, je perds l'eau, symbole de vie en moi (à quoi bon vivre sans vivre l’amour). Ou je n'arrive plus à me retenir ou contenir d'être moi.

    Je peux aussi me sentir tiraillé entre ma carrière et ma vie amoureuse comme si les deux choix ne pouvaient être compatibles. Je retiens ce sucre en me disant «attends encore (votre prénom) ce n'est pas le moment, je penserai à moi plus tard» ! J’accomplis ma mission de vie en priorité en mettant de coté le droit de penser à moi dans l'amour. J'accepte que je puisse être et aimer.

    Etant donné que je suis dévoué à ma cause au prix de m’oublier, la dévotion devient symbole de l’amour et je l’exige de l’autre pour me sentir aimé. Je me fais croire que je suis contenté, mais au fond je me sens seul.

    M’aime t’on pour ce que je suis ou ce que je fais ? Si je ne fais plus, serais je aimé ?

    Résilience : J’accepte de ne jamais être aimé comme je l’impose ou me l’impose !

    J’accepte de mettre ma vie amoureuse au centre de ma vie.

    J’accepte que l’amour soit léger et libre. Libre à chacun et libre de circuler.

    J’accepte de ne pas canaliser ou contrôler l’amour, ni mon partenaire, juste laisser circuler en moi pour m’abandonner dans la relation la plus juste pour chacun dans un rapport d’égal à égal avec mon partenaire.

    Je lâche la pression envers moi-même pour oser exprimer ma vision de l'amour et de ma sexualité.

    Je m'autorise plus de folie dans mon comportement.

    J'accepte de vivre le couple sur un pied d’égalité, comme l’équilibre du sucre dans mon sang et mon corps.

    J’accepte ma sexualité et mes goûts amoureux. J’ose laisser circuler en moi toutes les formes d’amour même si elles ne sont pas conventionnelles, sans me culpabiliser. J’ose rendre l’amour libre sans tabou.

    J’ose me laisser imprégner par la forme d’amour (sucre) qui coule en moi.

    J’ose m’assumer pour laisser circuler librement ma différence d’amour. J’accepte d’être libre de tout jugement.

    J’accepte que mon partenaire puisse rester avec moi par sa propre volonté malgré les différences d’âges ou physiques.

    J'accepte d'être à l'image du sang qui coule dans mes veines car je suis cet amour.

    J’accepte d'ouvrir toutes les vannes sanguines. Je m’autorise à être qui je suis et l'accepte, que ce soit en amour ou dans mon choix de pratiques et de partenaires. J’émane ce que je suis dans tout mon corps et à l’extérieur de moi.

    J'accepte que l’amour est sans frontières et universel. Il n’a ni âge, ni visage, ni sexe.

    J'accepte que l’amour est échange, partage, écoute, égalité, et liberté.

    J’accepte de ne pas imposer de visage à l’amour mais de lui laisser me montrer le sien.

    J’ai confiance en l’amour et en l’autre .Si c’est juste, il ne m’échappera pas.

    J’arrête de retenir et contenir, j’arrête de me retenir et de me contenir. Je m’exprime amoureusement et sexuellement comme je le sens couler en moi.

    Le mot glycémie signifie "sang doux" ou "sang sucré".

    A un moment de ma vie je n'ai pas reçu la douceur que je souhaitais ou dont j'avais besoin.

    Maintenant je la retiens en gardant le sucre dans mon sang. Ce manque de douceur a peut-être été accentué par des violences familiales. Le cocon familial n'a pas rempli son rôle de m’envelopper de douceur et d'amour.

    Je garde la douceur du sucre dans mon sang, pour qu'elle circule dans tout mon corps comme un câlin constant auquel je m'accroche.

    Si il y a eu violence d'un des parents, inconsciemment dans ma sexualité, je peux vouloir rechercher un partenaire du même sexe que le parent qui m'a violenté. Ainsi j'espère combler le vide (de sucre doux) de douceur liée à l'homme ou la femme qui m’a fait tant souffrir.

    La douleur reste quand même présente et je n'ose m'abandonner dans une relation symbolisée par l'homme ou la femme qui a été à mes yeux mon bourreau.

    Dans cette dualité intérieure (combler / repousser), difficile pour moi de m'engager "sang-gager". Inconsciemment, je peux aussi trouver la paix dans un compromis qui me fait rechercher un(e) partenaire plus jeune.

    Pour mon cerveau, si je suis en conflit avec l'adulte homme ou femme, je cherche donc inconsciemment la fille ou le garçon. Dans ma croyance, les adultes étant signe de dureté, une personne plus jeune est forcément signe d'innocence et de douceur. Je peux enfin combler ma douleur de recevoir la douceur du père ou la mère que je souhaite remplacer. Suivant quel parent m'a fait souffrir je recherche un(e) partenaire plus jeune. Il où elle pourra être du même sexe que moi.

    À travers ma sexualité, il se peut que je sois attiré ou que j’ai besoin de retrouver le sexe de la personne avec qui j'avais manqué de douceur enfant.

    Si j’ai vécu de la dureté, il se peut que moi aussi je sois dur et exigeant avec mes partenaires, car c’est comme ça que j’ai connu cette forme d’amour.

    J’accepte que par manque de douceur, je sois devenu dur moi aussi, cela peut révéler inconsciemment une colère contre moi-même d’être devenu comme le personnage que je détestais enfant.

    J’accepte d’être plus doux et tolérant envers moi, je fais la paix avec la dureté et la douceur. J’accepte de laisser diffuser la douceur (sucre) en moi. Une fois doux avec moi, j’attirerai la douceur des autres. Comblé, je n’ai plus besoin de garder le sucre fixé dans mon sang.

    Le mot diffuser est super important pour la guérison de cette maladie. Laisser diffuser le sucre dans son corps pour qu’il ne soit plus fixé dans le sang.

    J’accepte de vivre pleinement le visage de l’amour qui coule à nouveau en moi.

    Allergie à la pomme ©

    La pomme symbolise la connaissance. J’éprouve une dualité intérieure sûrement due à des ancrages religieux. Une partie de moi a envie de croquer dans la pomme. Symboliquement je veux acquérir de la connaissance, j’ai soif de connaissance, je veux m’enrichir et grandir spirituellement. Depuis que je suis enfant, j’entends qu’il ne faut pas croquer le fruit de la connaissance, s’instaure en moi une dualité entre l’envie et le péché. L’envie est trop forte je dois donc m’interdire cet accès. Le meilleur moyen est de déclencher cette allergie.
    Heureux sont les simples d’esprit, je peux donc aussi avoir l’impression d’être dépassé par trop de savoir ou ne pas le mériter, donc il faut que mon corps refuse la pomme, donc le savoir.
    Je ne peux donc m’apporter de l’intérêt et me cultiver .J’ai donc l’impression de ne pas penser à moi .Je ne pense pas à ma pomme (expression française).
    J’accepte que tout est parfait dans l’univers et que j’ai le droit d’expérimenter et de connaître.
    J’accepte et je reconnais que j’ai le droit d’apprendre et de savoir. J’ai le droit de penser à moi (à ma pomme)

    Alzheimer  ©

    Toute ma vie j’ai gardé des secrets qui inconsciemment ont été trop lourds à porter. En vieillissant, ces poids me pèsent, ils me prennent la tête. ils sont toujours au fond de mes pensées. Je n’arrive pas à me pardonner, je vis une grande culpabilité, me sens impuissant, et cela devient trop lourd de porter le poids des choses non dites. Je peux choisir de tout oublier pour me sentir léger et libéré. Le contrôle constant me pousse à m’endurcir et me fermer. Je peux être fatigué d’être aigri.
    J’ai besoin d’alléger mes pensées, de faire de la place dans ma mémoire, mais je garde beaucoup de contrôle pour garder bonne figure et essayer de conserver une belle image de moi aux yeux des autres. Je me sens incapable et il est trop tard à mes yeux pour mettre en avant les sujets qui me pèsent.
    Il m’est difficile de me mettre à nu et de me livrer pour changer. il me devient plus facile de perdre la tête, ainsi je pourrais m’autoriser à livrer mes secrets sans être jugé. Je pourrais vivre et m’autoriser des états du passé, je peux m’autoriser à régresser (retour en enfance) je peux m’autoriser de la folie caché derrière la maladie.
    J’efface ma réalité d’aujourd’hui et je recherche dans ma tête à retourner dans une époque ou un âge qui me sécurise ou me réconforte. Je ne reconnais plus les gens qui m’entourent car ils ne sont plus dans la réalité dans laquelle je vis. Je peux les transposer ou les confondre avec des personnes avec qui j’ai des choses à réparer ou des personnes qui me rassurent, par exemple des parents, de vieux amis de famille ou autre
    Voir autisme

    Hypertension ©

    Dans ma vie et dans ma famille, je veux tout contrôler. C’est moi qui porte la culotte.
    Je refuse à me laisser porter. Je considère que je ne peux compter que sur moi et je me mets une pression énorme pour tenir. Avec le temps, cette pression me monte à la tête pour me pousser à lâcher et à m’abandonner. Cette pression que j’ai à gérer, je la subis et l’inflige aux autres. J’analyse et filtre tout ce qui rentre dans ma vie et celle de ma famille.
    À plusieurs reprises, j’ai été déçu, j’ai manqué de soutien, je me suis renfermé et endurci. Je me ferme dans ma cocotte-minute maintenant fermement le couvercle. La résistance est tellement forte que à tout moment je peux exploser. Je peux me couper du monde extérieur pour veiller comme un loup ou une louve sur mon territoire, toujours aux aguets.
    J’accepte et je choisis de lâcher totalement prise. J’ouvre mes mains et lâche toutes les choses auxquelles s’accrochent mon ego et mon mental. J’accepte de me laisser porter et de me laisser contrôler par la vie et l’univers. J’accepte de refaire confiance et de recréer des liens.
    J’accepte de me reposer en toute sécurité.

    Herpès vaginal ©

    Je ne m’autorise pas à vivre ou à faire équipe dans une famille. La famille est ce qui est le plus important pour moi et j’ai envie d’en construire une à mon image. Je refuse d’œuvrer en partenariat, j’ai été déçu depuis l’enfance et je n’ai plus confiance en mes partenaires où en mon équipe. Ils peuvent être ceux d’une vie, d’une famille ou de collègues de travail. Je lutte, je suis têtu, obstiné et borné ce qui me consomme énormément d’énergie, je suis très fatigué. Je ne peux plus gérer et je déclenche un herpès pour être le gardien et faire fuir tout ceux qui voudraient se lier ou s’unir à moi. Je refuse de construire quelque chose ou de m’engager dans mon couple où ma famille. Au fond de moi j’ai toujours rêvé un schéma familial parfait et cette dualité crée un feu brûlant à l’intérieur de cet espace de partage et d’amour. Plus jamais je ne m’autoriserai et ne m’abandonnerai dans le plaisir.
    A plusieurs reprises, je me suis senti trahi par mes partenaires et je n’ai pas pu me reposer sur eux.
    (les partenaires ou l’équipe peuvent être mon mari, mon conjoint, mes enfants, mon père virgule ma mère, des amis, des collègues de travail).
    J’ai tellement souffert et eu mal, j’ai tellement été brûlé à vif que cette maladie crée un avertissement et un besoin d’exprimer ma souffrance : « si tu rentres en moi tu prends le risque que je te fasse vivre la douleur que j’ai vécu » . Qui s’y frotte s’y pique ou qui s’y frotte s’y brûle.
    Je n’arrive pas à aboutir dans mes projets car je m’obstine à travailler seul. Le vagin permet la reproduction et le plaisir par partage. En fermant cette porte, je me coupe de la conception, de la création, de l’aboutissement de la réussite et du plaisir. Cela peut se vérifier en amour en vie familiale où professionnellement.
    Je peux être de nature à procrastiner et attendre que le temps passe, j’attends que ce feu s’atténue mais les braises de la douleur restent à vie dans mon sang prête à se réveiller à tout moment.
    Je ne veux pas changer, je reste sur mes positions et mes décisions. Je reste assise dessus même si elle me brûle.
    Je suis sur la défensive constamment.
    Inconsciemment j’ai peut être de l’animosité ou de la colère envers ma famille virgule peut être que je déteste la façon dont un est constitué ou ses fonctionnements. J’ai sûrement tout fait pour leur plaire et pour les soutenir je me suis épuisé car rien ne change et j’ai eu l’impression de me retrouver seul dans mon équipe.
    Toutes ces situations me répugnent et me dégoûtent comme le visuel de cette maladie. je me pose la question si inconsciemment j’ai du dégoût envers moi-même virgule si je me répugne que ce soit dans mes comportements où mes formes de pensées.
    Je refuse qu’on me tende la main pour sortir de mes flammes, je ne veux plus d’aide de personne.
    Est-ce que mon compagnon est prêt à accepter mon amour que je n’ose plus et hésite à donner par peur de resouffrir et de reperdre.
    J’accepte de m’engager envers moi-même et envers l’aboutissement de ma vie et de mes projets. J’accepte d’avoir des partenaires et de leur faire confiance J’accepte de me reposer sur une équipe. J’accepte de laisser rentrer le partage en moi pour grandir.

    Allergie à la pêche (fruit) ©

    La pêche est le fruit du péché, inconsciemment, je peux être bercé par des ancrages religieux. Mon cerveau considère qu’il ne faut pas croquer dans le fruit du péché. Ce fruit est doux et juteux . Il peut souvent avoir des connotations avec la sexualité ou le contact humain. Avoir une peau de pêche. Il peut être assimilé au péché du désir et des rapports amoureux ou sexuels. Je vis une dualité et une frustration car une partie de moi a envie de croquer dans ce fruit défendu riche de sucre, amour, douceur et tendresse dans lequel j’ai envie de m’abandonner. Une partie de moi considère qu’il ne faut pas, que c’est péché. Je déclenche alors un rejet de la pêche.
    J’accepte de m’abandonner dans le plaisir et la douceur. J’accepte de vivre ma sexualité avec amour. J’accepte d’être seul juge de l’image que je donne à mes rapports humains amoureux ou sexuels. J’accepte de faire l’expérience de croquer dans le fruit du péché avec confiance et expérience de joie.

    Allergie au Freine (arbre) ©

    je suis éparpillé et dissipé. J’ai beaucoup de mal à me canaliser. je veux aller toujours trop vite et j’ai horreur qu’on me freine. Je sais que je dois prendre mon temps mais je n’y arrive pas.
    Je ne supporte et n’accepte pas les barrières qui se dressent devant moi. Je refuse l’obligation. Je manque d’écoute de peur d’être freiné par l’avis des autres.
    Ils ne me comprennent pas.
    J’accepte de ralentir mon rythme, de me structurer et de me poser. j’accepte de freiner pour avancer. J’accepte d’écouter et de tenir compte des avis extérieurs.

    Cheval: allergies, situations ©

    Je peux me sentir enchaîné, apprivoisé, en cage et avoir un grand besoin de m’évader.
    Il y a une ambivalence dans notre vision du cheval. Inconsciemment le cheval symbolise la liberté, les grands espaces, l’ouverture, le grand air. Mais quand je suis propriétaire d’un cheval, celui-ci me demande énormément de présence, d’investissement et d’argent et je me trouve très vite dépassé et emprisonné dans ce symbole de liberté.
    Je créé donc une dualité en moi pour me priver d’espace et de liberté à travers l’allergie au cheval. À lui-même, le cheval a la symbolique d’être fermé dans un box ou d’être sauvage dans un grand espace. Sous certains aspects, le cheval accepte aussi sa condition pour partager et procurer du plaisir aux humains qui le côtoient, symboliquement je peux changer mon énergie pour ne plus faire cavalier seul, accepter d’être domestiqué et en retirer du plaisir, tout est une question de point de vue. Je ne suis plus obligé de faire cavalier seul, je m’autorise à partager des moments avec des amis. J’accepte d’être plus docile et de m’apprivoiser où me laisser apprivoiser.
    Si je suis allergique au cheval je n’ai plus à prendre le risque de m’évader et de me libérer.
    Il est le symbole entre vivre pleinement sa vie cheveux dans le vent au galop ou rester fermé dans une boîte dans une vision de sécurité.
    Voir autisme

    Parkinson ©

    Peur de m’assumer, incapable et impuissant à saisir une opportunité et à trancher.
    J’accepte de retendre la main et que l’on puisse me la prendre. j’accepte d’être guidé et de me laisser guider. J’accepte d’avoir confiance en toutes choses et en les personnes autour de moi.
    Renvoyer une lecture à autisme

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